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Chroniken von Atys: [Atys] Dschungelgeschwür: Gerüchte breiten sich aus (143 comments)

Added by Geist von Atys over 12 years ago

Das Goo - schleichend und heimtückisch greift es gierig nach allem Leben, das ihm zu nahe kommt. Kreaturen und Pflanzen, von Pusteln übersäht, werden rasend und greifen willkürlich alles an, was sich ihnen nähert.
Immer mehr Geschöpfe werden vom Goo verschlungen, welches sie bis zum Tode qualvoll leiden lässt.
Doch was ist die Ursache für die schleichende Ausbreitung des Goo, nachdem es Jahrelang zu schlummern schien, und welche Auswirkungen zieht diese nach sich?
Auf ganz Atys sprechen Homins über die tödliche Gefahr, die vom Goo ausgeht. Vermutungen und flüchtige Beobachten entzünden ein Lauffeuer von Gerüchten. Kann ihnen Glauben geschenken werden?

Chroniken von Atys: [Zoraï] Kampf gegen das Goo - Gewinnt neue Titel (163 comments)

Added by Geist von Atys over 12 years ago

"Das Goo ist eine Seuche, die das Herz von Atys zerfrisst, von seinen tiefsten Wurzeln bis zum Blätterdach. Dieses Übel verbreitet sich selbständig - wie eine Krankheit, an der unsere Welt leidet." - Enzyklopädie

"Das Goo ist eine Bedrohung, die den Auserwählten Jenas nicht entgangen ist. Allmählich verschlingt sie den Planeten und vergiftet die Ressourcen von Atys. Auch der Karavan versucht, sich des Goos zu entledigen. Deshalb studiert er es, um mehr über seine Schwächen zu erfahren. [...] Ma-Duk wird vom Goo zerfressen. Um seine Lebenskraft zu verlängern, verschlingt er die Seelen und Körper der Homins, die ihm folgen, wie ein Monster." - Inschrift am Karavan-Tempel zu Yrkanis

"Ich habe mich, seit ich denken kann mit dem beschäftigt, was mich umgibt. Ich werde bald nicht mehr da sein, wohin auch immer mich diese letzte Reise führt. Aber die Homins, die auf Atys weiter leben... ich fürchte, es werden keine einfachen Zeiten kommen. Seid froh, dass es das Goo gibt. Es ist vielleicht das einzige, das das, was ihr Ma-Duk nennt, vielleicht noch aufhalten kann. Fürchtet die Glückseligkeit. Ihr wisst nicht, was unter Euren Füßen wächst und täglich stärker wird." - Nung Horongi, kurz vor seinem Tod.

"Das Goo, das Atys schon seit Jahrhunderten auffrisst, stellt die größte Bedrohung für Atys dar. Das Goo ist die Korruptheit des Nichts. Es steckt Pflanzen und Kreaturen an und verbreitet sich unermüdlich. Alle Homins müssen sich einen, um das Goo zu bekämpfen, sonst ist das Leben auf dem Planeten dem Untergang geweiht." - Inschrift am Kami-Tempel zu Zorai

DIE AUSBREITUNG DER SEUCHE

Viele Jahre Jenas hindurch schien das Goo zur Ruhe gekommen zu sein, doch nun stellt sich heraus, dass es das Verharren einer lauernden Bestie war. Überall am Rande des Goos erscheinen verseuchte Kreaturen, von Pusteln übersät und schäumend vor Geifer. Und es werden mehr.

DIE RÄTSEL DES GOOS

Die Bernsteinstädte, neue Heimat der Zoraï liegen inmitten der Kranken Lande, eine Bastion der Kamis, umgeben von den giftigen Dämpfen des zerfallenden Landes. Stämme, die sich skrupellos der schrecklichen Möglichkeiten des Goos bedienen lauern nur auf eine Schwäche der Kami-Theokratie, um ihre alten Schwüre von Mord und Vernichtung zu erfüllen. Was treibt das Goo an? Sind es wirklich nur die Stämme? Eine Waffe Jenas gegen ihren Widersacher Ma-Duk? Der Atem des Drachen? Nicht einmal die Kitins scheinen stark genug, dem Goo entkommen zu können, wie können es da die Homins schaffen, eingekeilt zwischen dem Konflikt der Fraktionen, den Invasionen der Kitins, den Bedrohungen durch die Marodeure und innere Konflikte?

DER KAMPF DER HOMINS

Homins, der Kampf hat eben erst begonnen! Die verseuchten Bestien wurden in den Regionen Knoten der Demenz, Wäldchen von Umbra und dem Nichts gesichtet, immer enger schließt sich ihr Ring um die Bernsteinstädte. Ergreift Schwerter und Magieverstärker, sammelt Freunde um euch und bietet den verderbten Kreaturen die Stirn!
Vao Seng-Lu, Goo-Beobachterin am Stall von Zora nimmt im Auftrag der Weisen das Gookontaminierte Fleisch entgegen und verleiht euch begehrte Titel, als Zeichen des Einsatzes gegen die Seuche. Begebt euch auf die Suche nach Valcorenoch, einer riesenhaften Bestie, die am Rande des Goos entlangschleicht. Setzt der Bestie ein Ende und gewinnt Seelenschlüssel, die euch Zugang zu weiteren Ehren gewähren!

Seid dabei beim Auftakt des Kampfes um die Verdorrenden Lande - ATYS BRAUCHT EUCH!

Chroniques d'Atys: Retour d'exil (62 comments)

Added by Chroniques d'Atys over 12 years ago

Reedeek était anxieux… Est-ce que ça allait fonctionner ? Les dangers étaient nombreux, et il n’osait imaginer ce qui allait se passer si le plan était éventé… Il secoua la tête et chercha à vider son esprit de toute pensée négative. Le plan était parfait, tout était prévu !

En regardant les homins qui s’étaient portés volontaires pour l’escorte, le Matis reconnut bon nombre de visages : l’Éveillée Zoraï Ki’atal, une alliée précieuse de longue date, envers qui le Matis avait développé une solide amitié. Nerwane, une des premières homines qu’il avait rencontrée en arrivant sur le Continent et qui l’avait énormément aidé à trouver ses marques. Kiwalie, l’Émissaire apatride pour la paix, toujours volontaire pour mener à bien une opération pouvant contribuer au bon déroulement de leur action pacifiste. L’imposant guerrier Zoraï Clintya, qui lui avait déjà sauvé la vie lors de son premier voyage au Nexus. Ainsi que bien d'autres encore...

Ils avaient tous répondu présent pour escorter la personnalité controversée qu’était Rodi di Varello. Pour eux, il ne faisait aucun doute que ce dernier avait servi de bouc émissaire, d’écran de fumée destiné à voiler la vérité… Ils n’entendaient pas le laisser servir de sacrifice dans l'intérêt de ceux qui ourdissaient de sombres complots dans l’ombre des Nations.

Rodi essayait de garder une contenance, veillant à afficher l’attitude hautaine et fière de la vieille Noblesse Matis. Reedeek espérait que celle-ci ne refroidirait pas les bonnes intentions des membres de l’escorte. Tous les homins se jetèrent à l’eau à la sortie de Fairhaven, se préparant pour le long et dangereux voyage qui les attendait. Une fois sur la terre ferme, de l’autre coté du lac qui entourait la magnifique capitale Tryker, Reedeek se retourna, observant les silhouettes qui entraient et sortaient de la ville. Avec un sourire satisfait, il se remit en route à la suite des autres, restant au plus près du conseiller d’Yrkanis.

Le voyage fut parsemé de rencontres avec les différents prédateurs d’Atys, Kitins y compris. Chacune de ces rencontres aurait pu s’avérer mortelle pour un homin isolé, néanmoins, l’escorte se défit sans aucune difficulté du moindre obstacle. Reedeek fut impressionné par les membres du groupes : les guerriers aux remarquables capacités martiales ainsi que les mages aux sorts puissants. Il se félicita de côtoyer autant d’alliés de valeurs.

Arrivé au pays malade, les membres du groupe firent une halte à Hoï-Cho pour se désaltérer, avant de rassembler leurs forces pour atteindre leur destination : le campement des Amazones Matis. Le raffut provoqué par autant d’homins dans le périmètre du camp ne manqua d’alerter Tinaera Rosirello, chef de la tribu des Amazones. Reedeek dut négocier avec elle pour que les Amazones acceptent d'accueillir Rodi en leur sein dans le plus grand secret. Tinaera avait demandé à ce que « l’invité » ne restât pas trop longtemps parmi elles, ce que s'empressa d'accepter l'Émissaire matis.

Une fois le marché conclu, l’escorte se dispersa, laissant Reedeek seul. Il se mit alors à sourire.

« Vous pouvez être sûre que votre invité ne restera pas longtemps parmi vous, mes chères Amazones », marmonna Reedeek à bonne distance du camp. « Il sera même sûrement parti dès demain. En fait, nul ne pourra jamais vous reprocher d’avoir hébergé Rodi di Varello… étant donné que le véritable conseiller d’Yrkanis n’a jamais mis les pieds dans votre camp ! »

~ ~ ~ ~

Au même moment, à plusieurs kilomètres de là, Antoni Capalici, négociant en vins fins Matis, arrivait sain et sauf à Yrkanis au terme de son voyage à travers les Primes sous l’unique escorte d’un guerrier en armure sombre. Humant l’air de la Capitale qu’il avait quittée depuis trop longtemps, le négociant déclara :

« Je dois bien reconnaître que votre plan était ingénieux. Mes ennemis ne se douteront jamais de mon retour à Yrkanis sous une fausse identité. J’espère que Ser Reedeek a réussi à mener ma doublure à destination. »

« Faites-lui confiance pour ca. » répondit le guerrier. « Il n’est peut-être pas le meilleur des combattants, mais il sait s’entourer. Il doit sûrement être sur le voyage du retour à présent. »

À peine eut-il terminé sa phrase qu’un voyageur arriva par le téléporteur de la Karavan, l’Émissaire Matis revenait de son périple à travers le pays zoraï. Reprenant rapidement ses esprits, il se dirigea vers les deux homins et les accompagna dans son appartement, à l’abri des oreilles indiscrètes.

- « Mission accomplie, Ser. Étant donné que l’escorte a été placée sous le sceau du secret, vos ennemis arriveront probablement à déterminer que vous avez été mené en terre zoraï, mais ils ne se douteront jamais qu’ils ont retrouvé la trace d'une doublure.

- Votre plan était rusé jeune Matis, félicitations ! Je vais donc rester ici dans le plus grand secret, et j’attendrai patiemment le retour de notre Karan. J’espère que ce jour arrivera bientôt. »

- J’y travaille Ser... Les Gardiens du Savoir font tout leur possible pour accumuler un maximum de Dappers afin de payer la rançon, tout comme d'autres sujets. Avec un peu de chance, ce jour ne saurait plus tarder. »

~ ~ ~ ~

Plusieurs semaines plus tard, dans la Chambre des Nobles, le Karan Yrkanis, de retour dans son Royaume, chargea Reedeek de retrouver son Conseiller disparu. Le jeune Matis accepta la mission, mais aucun homin présent ne put voir le discret sourire qui éclaira son visage pendant une seconde.

Chroniken von Atys: [Zoraï] Beobachtung der Goo-Aktivitäten (5 comments)

Added by Giao Fo-Chen over 12 years ago

Giao Fo-Chen tritt an das schwarze Brett heran und pinnt einen kleinen mit feinen Linien beschrifteten Zettel an das schwarze Brett:

Mit beunruhigenden Meldungen kam der Weise Saison noch gestern zu mir, um über die Ereignisse an den Goo-Grenzen zu berichten.
Alle Dinge auf Atys stehen in einem empfindlichen Gleichgewicht zueinander. Dieses Gleichgewicht wurde empfindlich gestört und es wurde eine Vielzahl von Kreaturen entdeckt, die vom Goo befallen wurden.
Der Kreis der Verteidigung soll, unter der Anleitung des Weisen Saison, die zunehmende Ausbreitung des Goo untersuchen. Der Kreise der Entdeckung soll diesen bei den Forschungen behilflich sein und Aktivitäten an den Goo-Grenzen melden. Natürlich ist auch jeder andere Homin, der sich um die Erkundung und Erforschung dieses Wandels bemüht, gerne gesehen. Um die Forschungen zusätzlich zu unterstützen, wird Vao Seng-Lu, ein kürzlich ernannter Goo-Beobachter, in der Nähe der Ställe von Zora positioniert, um Proben von Goo-infizierten Pflanzen und Kreaturen entgegen zu nehmen. Jeder Homin der sich an der Sammlung dieser Gegenständen beteiligt wird für seine Mühen entlohnt werden.

Möge Ma-Duks Glückseligkeit uns auf den weisheitsbringenden Pfad führen.

Großer Weiser Mabreka Cho

Chroniques d'Atys: Tête à tête avec un Maraudeur (202 comments)

Added by Chroniques d'Atys over 12 years ago

Un vieux Tryker, affublé de la tenue caractéristique des Conteurs ambulants, s'assit au milieu du village. La nouvelle se répandit aussi vite que le souffle du vent, et bientôt il fut entouré d'un groupe d'homins, d'homines et d'enfants.

Tandis que le soleil s'effaçait derrière l'horizon, sa voix profonde, à peine éraillée par le temps, s'éleva :

« Mes enfants,

Aujourd'hui, ce n'est pas un conte ancien que je vais vous raconter, mais plutôt ce qui m'est arrivée pas plus tard qu'hier...

Aussi incroyable que ça puisse paraître, j'ai été capturé par un groupe de Maraudeurs des Nouvelles Terres et j'ai survécu. Ma vie en l'échange de mon témoignage, tel fut notre marché. Mon métier de conteur ambulant m'a sauvé la vie, et de conteur, me voici devenu, l'espace d'un soir, narrateur d'une aventure bien réelle.

Voici, de mémoire, les propos de notre discussion. »

Le conteur se mit alors à jouer tour à tour les deux rôles ; tantôt le sien, assis et à demi tremblant de peur, tantôt celui de l'imposant maraudeur à la forte voix, debout,fier et charismatique.

« Les homins vous appellent les Maraudeurs, comme ceux des Anciennes Terres. Vous sentez-vous des points communs avec eux, vous qui n'avez pas connu le Grand Essaim ?
Nous avons plus de points communs que vous ne le pensez... Mais tout d'abord, comprenez-vous vraiment les Maraudeurs des Anciennes Terres ?

Je les redoute plus que je les comprends...
C'est pourtant simple. Lors du Grand Essaim, les Maraudeurs des Anciennes Terres ont été lâchement abandonnés de tous, non seulement par les dirigeants des peuples mais aussi par les Kamis et la Karavan. Et même par Elias, s'il existe vraiment. Ils sont restés seuls dans les Anciennes Terres, à tenter de survivre dans un monde envahi de kitins, tandis que le reste de l'hominité fuyait courageusement par les Primes Racines. Plusieurs générations d'oubliés se sont ainsi succédées sur les Anciennes Terres, dans un monde où la seule loi était celle du plus fort. Ils ont eu tout le loisir de penser à leurs douces retrouvailles avec les descendants de ceux qui, un jour maudit, les avaient condamnés à leur triste sort... Les Maraudeurs des Anciennes Terres vouent une haine éternelle aux Nations et aux Puissances, elles qui les ont condamnés à un exil infernal. Mais celui-ci prend fin, car ils ont trouvé le chemin des Nouvelles Terres. Seuls. L'heure de leur vengeance a sonné...

Je vois... Mais quel rapport avec vous, qui n'avez connu ni le Grand Essaim ni les Anciennes Terres ? Les Nations vous ont élevés et nourris, les Puissances vous ont ouvert leurs bras, comme à tous les homins d'ici !
Ouvrez donc les yeux ! Tel l'enfant vous buvez stupidement les paroles de vos parents ! Les Nations sont loin d'être idylliques, elles imposent par la force leurs lois, broyant ou rejetant ceux qui refusent de s'y plier ! La plupart des Maraudeurs des Nouvelles Terres ont cru un jour en elles, mais la réalité les a rattrapés. Seuls les faibles d'esprits sont jugés dignes de faire partie d'un tel système ! Les autres, ceux qui réfléchissent, qui contestent, qui pointent du doigt leurs faiblesses et leurs incohérences, sont rejetées. Restez donc prisonnier si cela vous chante, mais ne nous imposez pas d'en faire autant ! Nous sommes libérés à jamais de leur emprise. Nous sommes des Anarchistes, comme elles disent, et nous en sommes fiers.

Mais... pourquoi en vouloir aussi à la Karavan et aux Kamis ?
Bande de croyants innocents... Une grande partie de notre groupe est formé d'anciens suivants de la Karavan et d'anciens disciples des Kamis. J'ai moi-même longtemps bataillé pour la gloire de mon ancienne déesse. Mais un jour ou l'autre le voile tombe... Les Puissances vous utilisent, tout comme le font les Nations ! Elles vous promettent monts et merveilles en échange de votre soumission, et vous gobez leurs mensonges ! Les factions religieuses, fortes de leurs certitudes, font tout pour asservir la faction adverse, la broyer, la détruire. "Montre ta foi, obéis-moi ou meurs..." Vos religions ne valent pas mieux que vos nations ! Osez donc prendre vous-mêmes votre liberté, bande de lâches !

Vous vous considérez donc comme des homins libres ?
Nous sommes libres ! Libérés du joug des nations et religions ! Vous cherchiez à comprendre le point commun entre les Maraudeurs des Anciennes et des Nouvelles terres ? Le voici : seuls les Maraudeurs sont véritablement libres. Nous sommes les seuls maîtres de nos vies.

Mais... pourquoi vous en prenez-vous à l'hominité ?
Vous sentez-vous donc si supérieur à nous, pour revendiquer le droit de nous exclure de l'hominité ? Vous venez vous-même de répondre à votre question : les homins asservis nous rejettent, nous sommes aussi isolés que l'ont été les Maraudeurs des Anciennes Terres. Vous nous jugez et nous condamnez, soit ! Alors c'est nous qui nous ferons une place, par la force. Nous allons continuer à nous rapprocher des autres oubliés, ceux venant des Anciennes Terres. Et tous, autant que vous êtes, allez regretter de ne pas avoir su nous faire une place... »

Le conteur laissa le silence pénétrer les âmes des auditeurs. Sans un mot, il ramassa son baluchon et disparut dans la nuit, laissant les homins rassemblés seuls avec leurs frayeurs.

Chroniques d'Atys: Déclaration Universelle des Droits de l'Homin (243 comments)

Added by Chroniques d'Atys over 12 years ago

Déclaration Universelle des Droits de l'Homin

Préambule
La Déclaration Universelle des Droits de l’Homin constitue une avancée majeure dans la reconnaissance des homins en tant qu’entité unique et donc dans la reconnaissance de l’espèce homine. Le présent texte a été inspiré par un texte que Still Wyler a présenté au gouvernement de Fair Haven en 2507 pour combattre l’esclavage. Le texte définitif a été amendé et ratifié par les quatre peuples homins en 2518 sous l’impulsion de Wyler ; en voici le contenu :

Article 1
L’hominité n’est pas divisible. Chacun des quatre peuples représente un quart équivalent de l’hominité. Tout homin est un membre équivalent de l’espèce homine.

Article 2
Tous les homins naissent libres et égaux en dignité et en droit.

Article 3
Personne ne doit être maintenu en esclavage ou en servage. L’esclavage et le commerce d’esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 4
Un homin n’est ni un animal, ni une machine, ni un objet. Un homin se distingue du règne animal, des objets ou des machines par sa capacité à prévoir et à planifier un ensemble d’actions, ce qui indique la présence d’une âme. En conséquence, un homin ne saurait se réduire à l’ensemble des organes qui permettent à son corps de fonctionner.

Article 5
Tout homin, quels que soient sa race, son âge, sa nationalité ou sa religion, a le droit de choisir son apparence et la façon dont il s’habille.

Article 6
Tout homin a le droit d’exercer un métier dans tous les états libres homins dans la limite des lois de la nation concernée.

Article 7
Tout le monde a droit à un accès équitable à la technologie, la magie, la médecine et l’éducation pour améliorer son développement personnel.

Article 8
Les savoirs et les formations les plus élevés doivent être accessibles à tous de manière égale sur la base du mérite personnel.

Article 9
Personne ne doit illégitimement agresser autrui.

Article 10
Indépendamment de sa race ou de sa couleur, un homin doit secourir promptement tout homin blessé et le soigner jusqu’à son rétablissement. Le non respect de cet article constitue une violation des droits fondamentaux de l’homin.

Chroniken von Atys: [Zoraï] Gefahr durch das Goo (14.11.2011) (8 comments)

Added by Giao Fo-Chen over 12 years ago

Kamia'ata Bewohner der Bernsteinstädte und Freunde der Zoraï,

erneut stehen uns dunkle Zeiten bevor. Die jüngsten Warnungen der Kreise der Zoraï, und die daraus folgenden Beobachtungen, haben viele Homins auf eine sich möglicherweise ausbreitende Gefahr durch das Goo aufmerksam gemacht.
Nun haben auch einige der in den Verdorrenden Landen positionierten Beobachter Sichtungen von vom Goo befallenen Kreaturen gemeldet. Unter diesen sollen sich auch neuartige und besonders gefährliche befinden.

Um einem möglichen Wachstum der vom Goo ausgehenden Gefahr so früh wie möglich entgegen zu wirken, möchte der Große Weise Mabreka Cho einen Weisen zu den verschiedenen Beobachtern entsenden, damit dieser sich selbst ein Bild von den gemeldeten Sichtungen machen kann.

Da diese Reise viele Gefahren birgt werden alle Homins, die der Ausbreitung des Goo entgegen wirken möchten, gebeten sich am Dua, dem 26. Frutor des 3. Atys-Zyklus 2490* um 20:15 am Fahnenplatz von Zora einzufinden, um sich anschließend gemeinsam mit dem Weisen Saison ein Bild von den vermeindlichen Sichtungen der Beobachter zu machen.

Giao Fo-Chen
Herold des Großen Weisen

  • Montag, der 14.11.2011 um 20:15
    • Event-Typ: Kampflastiges Event; Dauer: ca. 1,5-2 Stunden

Chroniques d'Atys: Le prix du sang (270 comments)

Added by Chroniques d'Atys over 12 years ago

Seconde partie

Le choc fut monstrueux. Les soldats des deux camps entrèrent au corps à corps avec une violence inouïe. Propulsé en arrière, je m’écrasai avec fracas dans la sciure.

Autour de moi les premiers combattants tombaient déjà. Certains disparaissaient, comme aspirés par le sol, je voyais alors la résurrection par les puissances pour la première fois.

À ma gauche gisait un Matis mort, le corps broyé et le visage défiguré, tel un cri de douleur à la vue de tous. Il n’avait visiblement pas eu la chance d’être ressuscité. Pourquoi Jena ne le ramenait-elle pas ? Pourquoi un autre et pas lui ? Sur quels critères se faisait le choix ? La régularité de nos prières, le nombre de nos confessions ? Ou tout était-il déjà écrit… ?

La rage m'envahit soudainement. Je me relevai rapidement, agrippant ma pique comme jamais. Je n’allai pas mourir aujourd’hui, j’allai venger mes frères, je massacrerai ces païens...

Tel un homin pris de démence, je me jetai dans la mêlée, l’arme pointée en avant. Ma pique transperçait les armures de mes ennemis les unes après les autres tandis que je parais les coups qui m'étaient destinés. Je n'étais plus maître de moi : la haine me contrôlait entièrement.

Le combat dura de très longues minutes, chacun des camps semblant prendre l'avantage sur l'autre, mais seulement pour un court instant. C'est alors que soudain, venant briser la routine de la bataille, un Matis hurla :

« Regardez !! Thesos brûle !! »

Tous les regards se portèrent vers l’ouest. Nous pouvions distinguer, à travers la fumée, la gigantesque tour de garde rongée par les flammes. Un frisson de bonheur traversa tout mon corps. Le Karin Stevano avait accompli sa mission,Thesos brûlait ! Autour de moi, les cris de gloire matis s'élevaient en l'honneur de Jena, comme si la victoire était à portée de main.

Mais ma joie fut de courte durée, laissant place à une horrible sensation de douleur : la lame d’une épée venait de transpercer mon torse. Pétrifié par la souffrance, je tombai à genoux en crachant du sang. Devant moi, un guerrier équipé d'une armure noire me fixait. Il posa son pied sur mon buste, retira son épée d’un geste brusque et poursuivit le combat...

Couché sur le ventre, j’essayai désespérément de ramper dans la sciure malgré la douleur, comme pour fuir la tâche rouge qui s'élargissait autour de moi.Mais c'était trop tard, mes forces m'abandonnaient... Un bourdonnement grandissant envahit ma tête, chaque respiration devint de plus en plus difficile. Malgré tous mes efforts pour rester lucide, mon esprit commençait à s'éloigner, mes prières envers Jena perdaient leur substance... Et pour finir, ma vue lâcha.

C’était la première fois que je mourais…

Le retour fut tout aussi douloureux que le départ. Je repris mes esprits près du vortex de Thesos, un mal de crâne puissant tambourinant mes tempes. Instinctivement, je posai ma main sur mon torse à l'endroit ou l’épée m’avait transpercé quelques minutes plus tôt. Plus aucune trace de blessure n'était visible...

Quelle joie, Jena m’avait ramené ! J'aurais pu connaître une mort définitive sur le champ de bataille, mais le destin en avait décidé autrement.

Faisant fi de ma vision brouillée et de mon ouïe défaillante, je me levai tant bien que mal, m’appuyant sur la paroi. Mes sens reprirent peu à peu le dessus. Autour de moi, nombre de mes compagnons d'infortune sortaient eux aussi de cet état léthargique.

Je ramassai une hache qui traînait sur le sol, prêt à retourner sur le champ de bataille malgré mon horrible migraine. C'est alors que j'aperçus le Karin en personne. Il nous faisait face, à nous autres soldats matis, demandant notre attention, les bras levés. Lorsque nous fûmes tous prêts à l'écouter, il prit la parole.

« Sujets, soldats ! Les adorateurs du démon ont commis le pire des sacrilèges : ils ont capturé notre Karan ! Il est certain qu'à présent ils ne rêvent que d'une chose : nous anéantir tous jusqu'au dernier et fouler de leurs pieds barbares le sol béni de notre capitale. Mais nous ne les laisserons pas faire ! Jamais ! Montrons à tous la fierté et le courage des Matis ! Notre devoir est de protéger la Source Cachée jusqu'à notre dernier souffle ! Pour mon père, pour Jena, en route !! »

Ces paroles résonnèrent dans ma tête comme un coup de massue. Le Karan captif ? Impossible, inimaginable… Nous avions pourtant réussi à faire brûler Thesos ! Nous étions si proche de la victoire…

« Ils approchent, ne perdons pas de temps ! », cria un soldat.

Les Fyros chargeaient en effet... Malgré le choc, je passai rapidement le vortex avec les autres guerriers, me téléportant ainsi des kilomètres plus loin jusqu'aux Sommets Verdoyants. Sur place, l’atmosphère était beaucoup plus agréable : pas de chaleur suffocante, pas d’odeur de brûlé, seulement une brise légère accompagnée du doux parfum des fleurs du désert matis.

Le Karin Stevano rassembla prestement ses troupes un peu plus loin sous une tour de défense pour prendre à nouveau la parole.

« Soldats ! Nous allons tout faire pour empêcher les barbares d’aller plus loin sur nos terres. Ne faiblissez pas, je n’accepterai aucun échec ! »

Les premiers Fyros commençaient déjà à sortir du vortex. Il n’y avait plus de temps à perdre. Je grimpai dans la tour hâtivement, ramassai une mitrailleuse lourde et la plaçai sur un créneau.

Nous devions venger la capture du Karan et la mort de nos frères d'armes, nous devions protéger nos terres. Je chargeais mon arme et me mis en position de tir. Je n'hésitai pas à l'actionner dès que le premier Fyros fût à portée de feu. L’arme vibrait entre mes mains dans un vacarme assourdissant. Les barbares tombaient comme des feuilles, leurs corps déchiquetés par les balles des Matis.

La situation devint toutefois vite incontrôlable, les Fyros continuaient à arriver et les soldats matis commençaient à plier sous le nombre. Les sapeurs fyros s'attaquèrent alors aux fondations de la tour, qui se mit à tanguer dangereusement.

Je me précipitai vers l’escalier, essayant à tout prix de sortir de ce piège. Mais le sol se déroba sous mes pieds. La chute était inévitable. Je traversai les étages, emportant des poutres dans ma chute. Mon corps se brisa à l'impact du sol. Totalement paralysé par la douleur et les blessures, je regardais comme un simple spectateur la scène qui se déroulait autour de moi : des païens achevaient froidement les blessés restés sur le sol tandis que les autres tiraient dans le dos de ceux qui essayaient de fuir. Certains éclataient de rire, le visage dénaturé par la folie et la haine.

La tour finit par s’écrouler entièrement, les poutres de bois s’écrasant tout autour de mon corps mutilé. Je n’avais plus aucune chance, j’allais mourir pour de bon. Au-dessus de moi, un énorme bloc de bois se rapprochait inéluctablement et étrangement, je le voyais arriver comme au ralenti. Ma vie défilait devant mes yeux. Mon enfance, mon homine, mes enfants, mes erreurs, mes regrets… Le bloc se rapprochait, je fermai les yeux, attendant la mort.

Ma seconde renaissance fut accompagnée de maux de têtes plus violents que la première. Un Matis m’attrapa par le col de l’armure et me secoua tout en criant. Je le voyais à peine, lui qui semblait s'époumonner en silence. Comme la première fois, mes sens reprirent le dessus quelques minutes plus tard.

« Tout va bien ! Arrête de crier, tout va bien ! Jena t’a ramené à la vie, nous sommes au Tertre de la Dissidence. »
Pris de nausées, je me laissai tomber à genoux.

Le matis continua comme si de rien n’était :

« Inutile de te presser, nous avons de toute façon perdu cette bataille… Les Fyros contrôlent entièrement la Source Cachée. C’est par chance qu’ils ont décidé de ne pas aller plus loin »

M’essuyant la bouche avec le bras je bégayai quelques mots :

« Et …et pour notre Karan ? »

L’homin me regarda d’un air triste.

« Nous n’en savons pas plus pour le moment. Le Karin Stevano va bien. Il nous a dit de rentrer à Yrkanis. Ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un pacte de téléportation sont déjà sur la route…»

Tout était donc fini, nous avions perdu. L’Empire fyros avait complètement balayé notre armée, notre défaite était totale.

J’avais eu la chance de survivre, Jena m’avait ramené deux fois à la vie. Mais pourquoi, pourquoi moi ? Je me sentais presque coupable, beaucoup de mes frères étaient morts aujourd’hui… Alors que moi, je vivais. Jamais je n’aurais espéré avoir cette chance. Louée soit-elle, louée soit notre déesse. J’allais revoir ma famille, je n’étais pas mort !

Ce terrible jour allait être gravé à jamais dans la mémoire des Matis. Il affichait le commencement d’une ère très sombre. Notre Karan s’était fait capturé, les Fyros avaient envahi une partie de nos terres, nous avions payé le prix du sang.

Extrait du journal de Vito Bendi, un militaire matis

Chroniken von Atys: [Atys] Tage des Gruselns (Halloween) (ab Fr., 28.10.11) (49 comments)

Added by Geist von Atys over 12 years ago

Oh ihr Homins!

Versperrt eure Häuser! Nagelt eure Fenster zu, geht nicht alleine vor die Türe! Die Zeit der Geister ist zurückgekehrt. Spuk und Schaudern, Grausen und Gruseln - Halloween ist da!

Verbringt einige unheimliche Tage auf dem herbstlich-winterlichen Atys, lasst euch überraschen von geisterhaften Erscheinungen und Yberhaut auf die Rücken zaubern von schaurig-schönen Spukgeschichten.

Die Flammenhatz

Vom Abend des Freitags, 28.10. bis zum späten Abend des Dienstags, 01.11. werden leuchtende Flammen in den Verdorrenden Landen, der Brennenden Wüste, den Grünen Anhöhen und Aeden Aqueous erscheinen. Beeilt euch, sie alle zu finden und die Geister dieser Tage werden euch das Recht gewähren, ein Jahr lang seltene Titel zu führen!

Trug- und Spukgeschichten

Am Abend des Samstags, 29.10., 20:30 Uhr laden wir Euch ein, in den verschneiten Wäldern des Majestätischen Gartens Spukgeschichten zu lauschen und vor allem selbst welche zu erzählen. Seien es lustige Geschichten oder Schreckensdinge, Gedichte oder Lieder, gebt sie zum Besten und erfreut euch am Zähneklappern eurer Zuhörer!

Spukhafte Stimmen

Am Sonntagabend, 30.10., 20:15 Uhr wird die Hilfe zahlreicher Homins gebraucht, um einer tragischen Geschichte auf den Grund zu gehen. Nur so viel sei verraten, dass die Geschichte in Zora ihren Anfang nimmt. Wenn ihr also Freunde habt, die noch nicht dorthin können, nutzt die Zeit, um die Reise dorthin mit ihnen zu wagen!

Viel weiteres wird es auf dem eingeschneiten Atys zu entdecken geben, also habt Acht und traut keinem Yubo...

Wir freuen uns auf schaurig-schöne Tage,
Euer Event-Team

Chroniques d'Atys: La Légende d'Anlor Winn (269 comments)

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"Anlor Winn", le Vent Maléfique... Ces simples mots suffisent depuis toujours à faire frissonner d'effroi les petis enfants trykers. Mots associés à maintes histoires terrifiantes et autres légendes arrachées au passé...

"Anlor Winn", le Vent Maléfique qui, se glissant à la faveur de la nuit, recouvre parfois insidieusement l'innocente Ecorce d'Atys toute entière, réveillant en chaque homin, en chaque homine, ses plus sourdes terreurs d'enfant...

"Anlor Winn", d'après une rumeur persistante, devrait bientôt revenir perturber nos âmes (*), infiltrant en nous des visions étranges, maléfiques...

Légende ou réalité ? Vérité ou halluscination ? Nul ne peut en être certain...

[HRP] Du 30 octobre au 1er novembre 2011 [/HRP]

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